R.P

Mode de déplacement
À vélo
Durée du voyage
Demi-journée
Les conseillers prêt à vous accompagner
Mario, votre conseiller Loir Découvertes s'occupe de tout, laissez-vous guider et réservez une expérience sur-mesure !

Programme complet

5 étapes

Top départ

23 min
À vélo
4.8 km

Le château des Diorières

Le fief des Diorières relevait de celui de Chauvigny. Le château actuel a été construit en 1737, remplaçant un château primitif détruit lors d'un incendie. De l'ancien château subsiste les douves disposées autour d'un espace rectangulaire marqué aux angles nord-ouest, et sud-ouest d'une tour ronde. Le château se compose d'un corps de logis rectangulaire dont la partie centrale est surmontée d'un fronton triangulaire. L'intérieur a été entièrement refait à la fin du 19e siècle.
8 min
À vélo
1.5 km

La Grande Borne

Stanislas de LaRochefoucauld hérite du domaine de Fréteval au milieu du XIXème.Il va raser le relais de chasse dans l'immense forêt pour construire un château de style Louis XIII (château, communs, chapelle, nombreux pavillons) pour deux millions de francs or. En 1923, le château et l’ensemble du mobilier est acquis par un couple d’industriels new-yorkais pour accueillir des orphelins arméniens. Le 17 novembre 1934, un incendie ravage le bâtiment et c’est la fin de la magnificence. Les communs abriteront des réfugiés espagnols en 1937 pendant quelque temps, avant que les ruines ne soient soigneusement réutilisées dans toutes les constructions environnantes.Dans le même temps, il devient maire et agit en véritable seigneur : il fait raser le fort-Girard (Renaissance), fait construire de nouveaux bâtiments, restaure l'église du village (transforme le clocher carré en octogone). Il fait également construire, à la suite de la mort de ses deux fils (maladie pulmonaire) une chapelle mausolée prolongée d'un asile pour vieillards indigents, l'établissement est confié à la gestion religieuse. Une association prend le relais ensuite à partir de 1988 puis l'établissement ferme en 2019.
25 min
À vélo
5.9 km

Chapelle Ste Radegonde

À partir du XI esiècle, un prieuré est fondé à Busloup et une chapelle édifiée en hommage à sainte Madeleine puis, plus tard, à sainte Radegonde. Les propriétaires de la chapelle changent après la Révolution et se succèdent mais la dévotion se poursuit autour de la fontaine dans laquelle les pèlerins viennent jeter des épingles pour préserver les enfants des convulsions. La sainte est aussi évoquée pour guérir les rhumatismes, la lèpre, la gale, les ulcères et les fièvres infantiles… Marcel Bordeau, marchand épicier et débitant de boissons, installé à l'Écotière, ne peut que se réjouir de la fréquentation lors du traditionnel pèlerinage du mardi de Pentecôte. Affluence qui se maintient lorsque l'ancienne chapelle est remplacée, entre 1862 et 1864, par celle, de style néo-byzantin, dessinée par l'architecte diocésain, Jules de La Morandière.Après la Seconde guerre mondiale, le pèlerinage fut de plus en plus abandonné et la chapelle souffrit d'un cruel manque d'entretien pouvant conduire à sa ruine. C'est dans les années 80, qu'un groupe de bénévoles reprit l'édifice en main et procéda aux réparations urgentes mais aussi aux embellissements.
12 min
À vélo
2.5 km

Arrivée !

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